Malabo – L’air est lourd, les cœurs sont serrés, les réseaux sociaux s'enflamment, et dans les salons feutrés de la Guinée Équatoriale, les sourcils se haussent. La cause ? Un certain Baltazar Ebang Engonga, fils d'un dignitaire influent, a déclenché une véritable tempête sous les draps. Lui, c'est l'homme aux 400 sextapes - 400 vidéos, 400 femmes, et pas un préservatif en vue ! Un record troublant, autant pour l’éthique que pour l'hygiène, mais toujours « avec consentement », clame-t-on.
Les vidéos intimes de Baltazar, récemment mises en lumière, ébranlent des foyers et transpercent les cœurs de quelques époux - des foyers influents qui se déchirent depuis l'arrivée de ces vidéos virales. On parle même de querelles grandioses, de scènes enflammées qui explosent autour de noms de familles jusque-là bien rangées. Mais ce n’est pas tout : au milieu de ce chaos, l'épouse d'un officiel de la sécurité présidentielle fait partie du casting des vidéos. De quoi ajouter une pincée d’huile sur un feu déjà incandescent.
Un enregistrement bien consentant mais maintenant brûlant
Baltazar n'était pas seul dans cette danse, il partageait l'écran avec
quelques Camerounaises, Gabonaises, Ivoirienne, exportant ainsi son scandale jusqu'aux terres voisines. Aujourd’hui, les citoyens de la sous région s’offusquent, les médias s’interrogent, et quelques diplomates haussent les épaules avec résignation. La CEMAC (Communauté Économique et Monétaire de l'Afrique Centrale), que préside le père de Baltazar, commence elle aussi à trembler sous le poids de ce feuilleton indécent.
On ne s'attaque pas à tout l’monde sans que ça craque.
Car ici c’est un brasier, un vrai déluge,
Où l’intime vire au public, ça fait des remous sans refuge.
Mais alors, comment tout cela a-t-il pris forme ? Comment ces enregistrements ont-ils pu glisser des mains de Baltazar jusqu'à la vue de tous ? L’explication se trouve dans les scellés : lors de son arrestation pour corruption, les forces de l’ordre ont saisi les appareils de notre homme. Là, entre des téléphones et un ordinateur bien trop bavard, l’intimité de Baltazar s'est retrouvée éparpillée sur Internet comme un vulgaire meme viral. La fuite serait-elle accidentelle, ou serait-ce un acte malicieux ? L’enquête reste ouverte, et les questions fusent.
Dans la presse locale et même au-delà, les langues se délient. On imagine déjà les repas de famille peu joyeux au sein des foyers impactés. De Malabo à Yaoundé, de Brazzaville à N’Djamena, Oyem à Libreville cette affaire devient un sujet brûlant. Le peuple s’interroge sur la sécurité de la vie privée dans un monde où la moindre donnée semble vouée à s’évaporer.
Ses vidéos l'ont bien vite remplacé.
Et si certains rient sous cap,
Les époux, eux, serrent leurs caps.
Aujourd’hui, derrière les barreaux, Baltazar est pris dans le tourbillon de ses propres créations. Lui qui voulait conquérir, s’amuser, goûte désormais aux suites amères de ses actes. De son côté, son père préfère garder le silence - ou peut-être simplement l’embarras ? Quant aux ménages influents de Guinée Équatoriale, ils cherchent comment se relever de ce coup bas.
Alors que le monde observe, certains craignent que l’affaire ne se transforme en crise politique, déstabilisant des liens déjà fragiles dans la région. Mais pour l’instant, il reste à espérer que ce scandale fasse réfléchir les gens sur l'importance de la vie privée et les conséquences d’une simple caméra dans les mains d’un amateur peu prudent.
En attendant, c'est la Guinée Équatoriale qui fait les gros titres ; et Baltazar, l’homme aux 400 sextapes, restera sans doute dans les annales - qu'il l'ait voulu ou non.
Regarde les dégâts provoqués.
Les sextapes sont un jeu brûlant,
L’homme aux 400 ruses, à présent, se repent.
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Commentaires
Je veux voir les vidéos
Je suis un homme responsable
L'homme fort
Tro fort